🍃 Comment définir la sensibilité des plantes ? 🌸 Quelles sont les bases biologiques de cette sensibilité ? 🌱 Et qu’est-ce que cela change dans notre manière de penser le monde végétal ?

Dans cet épisode, nous — Lucia et Delphine, coautrices du livre “Sensibles par nature – La vie invisible des plantes révélée par les sciences” 📖 — explorons les découvertes scientifiques qui dévoilent la face cachée du vivant.

Nous parlons de perception, de communication, de mémoire, et de tout ce que cela révèle sur ce que sont vraiment les plantes.

💚 Un échange entre biologie, philosophie et émerveillement devant la vie, pour repenser notre lien au végétal.

Dans cet épisode, nous repartons de ce qui nous a motivé à écrire ce livre, le chemin parcouru depuis la première idée jusqu'à la concrétisation de ce projet.

Un livre que nous voulions le plus didactique possible, illustré et visuel, parsemé de QR code renvoyant à des vidéos pour plonger au plus prêt de ce que sont les plantes.

Merci à Claire Martha pour les magnifiques illustrations qui ornent cet ouvrage et aux éditions Ulmer de nous avoir fait confiance.

Qu'entendons nous par sensibilité des plantes ?

L'étymologie du terme "sensible" vient de ce qui est perceptible par les sens, sensibilis.

Pour les plantes, il s'agit de recevoir des informations de leur environnement via des capteurs fins et spécifiques aux stimulations telles que la lumière, le toucher, le son, la gravité ... Puis de transmettre l'information captée par un système de circulation de message électrochimique dans l'organisme et enfin la réaction à ces message de manière adaptée et en prenant en considération d'autres messages intégrés.

Nous développons quelques exemples dans cet épisode qui mettent en évidence cette sensibilité par des expériences menées par des scientifiques.

Extrait du livre "sensibles par nature" : la capacité de la tomate à détecter les volatils et à se défendre.

"C’est bien leur dénier la vie que de leur en contester la qualité importante et caractéristique, la sensibilité. » 

Raoul Francé, 1937